La confession de son cœur explosé sous mes iris qui n’avaient jamais voulu voir cette réalité, j’agissais encore certainement comme il m’avait connus et pourtant il avait passé ses quelques derniers jours à me gueulé dessus comme un taré. « ASH TIRE BORDEL » après plusieurs balles tirées dans le thorax, il se retrouvait à terre dans son sang au reflet d’argent. Je devais me contenté d’appuyer sur la gâchette sans éprouver de sentiment. Totalement spectatrice de la destruction, j’attendais qu’ils soient assez faible pour arrêter de me crier dessus et attendre que le mal se calme. On fonctionnait comme ça et ça depuis l’accident qui ma mener à vendre ma vie, parce qu’au final. Il était mon ami et qu’on était toujours là l’un pour l’autre. On était en Thaïlande, l’opium tenait notre air dans la pièce parce que les pays de l’Asie était nos lieux de perte de contrôle personne viendrait nous emmerder ici, personne viendrait nous retrouver. Quoi que, mes doigts filé par la fenêtre en attendant qu’il arrête son cirque, que la lenteur de sa recomposition se fasse. Une pilule, je la fessais glisser dans sa bouche en lui mettant un verre d’eau à la bouche. « Arrête tes conneries, ce n’est pas maintenant que tu meurs. » Lui avais-je lentement adressé. Il avait mal de faire mal et sa me rappeler le ticket du silence que j’avais acheté. J’aurai du parler moi aussi mais en fait j’en avais été incapable. Peut-être que c’était mieux ainsi, moi avec l’inutilité de la vapeur mon ombre. Pourtant ça ne quitter jamais réellement mon esprit.

Mon dos se pliait en laissant tomber mon corps contre le mur et puis je caressais ses cheveux. Si sa douleur était proportionnel aux sentiments qu’il ressentait, c’était qu’il amoureux. Il affrontait, ce qu’il avait toujours fuit. Ses plus grands démons étaient devant lui sans qu’il n’est plus le comprendre avant mais il combattait avec ses moyens. Je nous allumais une clope, éteignant mon allumette d’un souffle plastique. Il avait la gueule défoncé, je l’avais récupérer complétement cassé sur un trottoir de Londres. Je n’avais jamais su comment réagir aux douleurs des autres, à vrai dire j’étais un peu une handicapée. Je me contentais de lui tirer dessus, donner ma cigarette et pour finir attendre que ça passe. Il n’était pas quelqu’un qui parlé. Ma cigarette alla entre ses lèvres et puis on s’est endormis en pleine après-midi. Lorsque que je m’étais réveillé, Sydney avait disparu. « Va chercher Hyde le 26 Février, à ta salle de danse, emmène le à koh-phi » Dans ma tête le flot de ses mots écrit s’attaqué à ma chair, je savais quoi faire. Dans un moment ou les rivières de sa vie, il m’avait montré. J’avais la chair de poule à l’intérieur tellement sa raisonné en moi.

Les vers de la poésie de ses mots se vendaient dans le clos du secret, j’attendais le jour J et puis comme tous les jours j’allais à la salle de danse, il était deux heures de l’après-midi. Je m’entrainais n’ayant aucune nouvelle de Sydney, ni d’Hyde. Ni d’autres personne à vrai dire, mes mouvements s’arrêtées dans la douceur du vol. Toutes les couleurs s’engouffraient dans le gris sans l’éclat d’une présence invisible. La passion les avait toujours saturés dans un autre milieu, mais ce n’était pas là l’éclat de celle-ci. Le temps passé, j’avais fini de m’entrainer alors je me dirigeai vers la douche et puis je laissais couler l’eau avec cette envie de tirer la tête dans un berceau que personne ne comprendrai. Mes traits sauvages m’avaient rendu prisonnière de ma liberté, silencieusement une énergie douce le manque de ce mystère d’attraction me parut comme une évidence que je devais faire taire. Sans doute que je n’avais pas le droit, que c’était mieux ainsi. Je mis une robe, en attachant soigneusement mes cheveux. N’ayant pas de téléphone, j’avais demandais à Auréa d’être prête avec Damon, Lisa. Anthéa avait disparu ainsi que Thunder, j’avais essayé de les contacter eux aussi.


Patiemment, j’attendais Vitaly devant la grande bâtisse usé. Ma veste en cuir qui me protégé vainement du vent et ma cigarette entre les lèvres qui se détaché lentement. Entre Hyde et moi, il y avait eu une sorte d’attirance dont je n’avais pas réussis à expliquer et puis j’avais compris qu’entre lui et moi ce n’était pas possible. On s’était parlé alors que je n’étais pas vraiment faite pour aligner les mots et lui non plus. Peut-être que j’avais cette impression étrange en moi qui se balayé dans les secondes.

La fuite consumée mes pas comme une empreinte sur un horizon sourd, comme si j’avais besoin de marcher dans l’ombre pour fuir. Il me suffisait d’imaginer l’endroit où je voulais me rendre et la vérité, c’était que l’endroit n’avait aucune importance. Les épreuves coulaient symptomatiquement sur ma peau, se resserrant un peu plus chaque secondes. J’oubliais les raisons pour lequel j’attendais. Les étoiles s’étaient balisés en impossible, j’étais mon propre démon et c’était une signature qui pesé lourdement dans mes poumons. Les éclaires se baladaient sur ma peau, s’ouvrant lentement dans un silence incompris. Je soufflais lentement sur les cendres de ma cigarette pensant à mon game over qui planait sur mon échine. Rien ne changerait et j’approuverai toujours le fait d’être coupable comme étant ma seule réponse valable. Comme si, il n’y avait qu’elle qui pouvait faire cesser les questions. L’ostracisme dans lequel mon esprit était confiné frôlé l’incompréhensible mais pourtant ça, je m’y étais habitué depuis petite. J’évitais de trop réfléchir et j’attendais que Hyde montre le bout de son nez. J’espérais entre deux soupirs qu’Hyde soit en meilleur état intérieur que celui de Sydney, enfin j’imagine qu’il devait être aussi mal l’un que l’autre. Ses yeux verts avaient viré à un gris pâle et j’avais compris qu’il était malade. Pourtant le temps semblait s’être arrêté avec son sang étalé sur le sol. Certainement que je me plaignais avec mes petits problèmes de manque alors qu’ils devaient en avait des plus gros seulement j’aurai aimé pouvoir les comprendre tous deux seulement ils étaient aussi incompréhensible l’un que l’autre. Je n’avais pas la facilité de dire que ce que je ne comprenais pas été faux. Ils l’étaient tous deux. Aucune situation n’était facile, aucune pièce n’était plus visible que l’autre.


« Désolée, je suis peut-être en retard. Syd m'a dit que tu m'emmenais. »


Morgan avait disparu, je n’arrivais plus à le joindre. D’habitude, je gardais sa souris en otage pour pas qu’il s’en aille mais la vérité c’était qu’il ne m’avait pas laissé le temps de le faire. Les mots prononcés par Hyde m’avait sorti de mes songes, je lui avais simplement sourie. Sydney s’en fichait bien qu’elle soit en retard, il l’attendait. J’avais pris la main de Vitaly et puis j’avais pensé à cette île, où Hyde m’avait emmené dans ses songes. Parfois j’avais un peu cette sensation d’être un taxi mais bon sa me rendait utile. Je songeai à cet endroit sur terre, à l’abri du nucléaire. Le soleil n’était pas encore couché ici et je regardais ou se trouver cette idiot qui m’avait fait peur, je regardais tout autour de nous en voyant le bleu de l’eau. J’avançais en ne lâchant pas la main d’Hyde parce que quelque part j’étais déjà venu, on avançait vers une sorte de cabane, j’étais certaine que cette celle-ci alors je lâchais la main d’Hyde en me téléportant à nouveau vers Londres cette fois à leur habitation. Damon parlait à Sydney avec son téléphone, ce qui était plutôt amusant à voir. J’étais un peu gêné parce qu’on ne pouvait pas dire que je fessais parti de leurs entourage.


Ma place n’était pas vraiment ici, enfin elle n’était nulle part mais ça c’était une suite d’évènement incompréhensible. Je les emmenais sur cette île, il me semble que Damon avait compris ce qui se passait dans le crâne de Sydney. Enfin sur ce coup-là il n’avait pas vraiment été explicite. Je les emmenais avec Auréa qui demandait sans arrêt « mais on va ou en fait ? ». Et puis je me mis à chercher Anthéa et Thunder enfin Phoenix parce que je savais que c’était surement important pour Hyde et puis pour Sydney surement que je n’allais jamais pouvoir les trouver étant donné que je ne savais pas où ils se trouvaient et qu’il ne voulait pas l’être. On m’avait laissé un faible indice pour Phoenix, le nom d’une ville, celle ou on s’était croisé pour la première fois. Paris. Il devait surement être en train de vivre sa vie tout simplement en vivant avec son art que j’avais souhaité voir ou alors sa m’étonnerai pas qu’il soit dans son lit avec une fille ou plusieurs. Paris était vaste alors j’en savais rien si je pouvais définir ou il était et puis peut-être qu’il ne voulait tout simplement plus être ici. Et puis, je me suis effacé sans un mot.

Les nuances explosaient dans mes oreilles comme les cadavres dansant. Dans ma chair l’usure propage ses rythmes qui me rendant plus faible, dans l’invisible les civières m’emportent vers un monde ailleurs. Ne pas sentir, c’était sans doute pour cela que j’ai choisis les enfers. On avance pas avec des j’aurai du, avec des regrets pleins la tête pourtant une pensée ne cessait de me poursuivre et si j’avais su ouvrir la bouche au bon moment. Je m’asseyais dans le métro parisien, ne sachant pas où aller. C’était trop tard pour les regrets alors je fessais étouffer cette petite fille en moi qui criait, courant à travers l’enfer de ses sentences. Les désistions que je prenais dans l’urgence n’était pas toujours les bonnes, mais j’en assumer les conséquences sous médication. Malheureusement, je ne possédais aucun endroit dans ma tête pour m’y reposer. Pourtant forgé dans l’art de la guerre, mes gestes étaient faussé par les doctrines brulantes qui se mouvaient lentement jusqu’à ma moelle. La doctrine est né pour assemblé une unité, celles-ci divisent mes respirations dans un écho brisé et muet. Toute la discipline dans laquelle, j’étais bercé s’évadé dans un écrin invisible. Je descendais du métro en suivant la masse, en cherchant à me mettre à l’écart pour me téléporter. Les fondements d’une logique se brisaient dans mes muscles, les funérailles voyageaient entre mes doigts comme des poussières incompréhensibles. Ma téléportation me mena devant la porte de l’appartement d’Anthéa, l’ancien logement d’Hyde, Sydney et Auréa. Je n’avais pas eu l’habitude de toquer mais je l’avais fait. Et puis la porte s’ouvra.


Pendant quelques minutes, mes yeux s’enfonçaient sur ses traits, sans un mot et puis le seul qui m’est venu à l’esprit se fût « Idiot » puis je me suis mis à le taper. Il m’avait manqué, personne n’était censé pouvoir me manquer, sauf Morgan. Pourtant, sans que je comprenne, sans que je sache et même en me forçant pour éviter d’y pensé dans l’attente. Ça se passait quand même. Sans doute qu’il ne comprendrait pas ma réaction mais je m’étais inquiété. Les distances qui étaient tracés pour ma protection venaient m’arracher la peau à l’intérieur lorsque j’étais en sa présence alors elle s’arrachait. Je continuais de le taper sans écouter ses arrêtes, sans avoir conscience que je n’étais personne pour faire ça et qu’il pouvait refermer la porte. Les leçons que j’avais apprises, imperfectible s’échouèrent devant mes iris. Et puis j’ai arrêté, il m’a poussé, je l’ai repoussé et il m’a adressé un « Ça va ? » et on à parler. C’était peut-être rien où je n’en sais rien mais je lui avais dit qu’il m’avait manqué, c’était la première fois à vrai dire que j’arrivais à le dire. Les distances se brisèrent lorsque je mis ma tête sur son torse sans penser à rien d’autre. Phoenix ne m’avait pas poussé et puis je lui ai parlé de son frère. Il avait peur pour lui, je ne savais pas ce qu’il pouvait ressentir mais il voulait le protéger. Je l’écoutais en essayant de le rassurer enfin, ça fonctionné pas vraiment. Sans vraiment trop comprendre, j’avais posé mes lèvres sur sa joue puis il s’est pris pour le garçon maltraité, parce que je le pinçais, tapé et lui fessait des « trucs bizarres » puis il m’avait poussé comme un rappel aux limites. Thunder avait sans doute raison. Il voulait ramener Hyde chez lui mais puis au final, ils discuteraient ensemble avant de faire quoique ce soit.

L’horizon se brouillait lentement dans un silence qui me rappelait que je devais l’emmener là où il voulait. Un poids imperceptible tatillonnait mes veines, celle du venin de ma métamorphose qui s’accrochait au moins je me rendais utile, enfin... Je saisissais sa main en fessant rapidement pour ne pas lui laisser le temps de la repousser. Mon âme n’existait plus alors sans doute que je l’avais mérité. On arrivait sur les plages de koh-phi, puis j’avais lâché sa main et puis j’avais repris les distances normales. J’enlevais mes chaussures, ma veste et puis on avançait vers la cabane, j’ouvrais la porte, Hyde était avec Auréa qui tenait Lisa dans ses bras. Ils devaient parler de frère à frère, sœur. Je traversais les pièces en emmenant Auréa. On se retrouvait de l’autre côté et puis je m’asseyais à terre, dehors sur la terrasse en bois. Auréa jouet avec Lisa à l’ombre. Le sable s’enfuyait à travers mes doigts, l’endroit était paradisiaque mais aussi intime. Je m’allongeais puis mes paupières se fermèrent sans comprendre ce qu’il m’arrivait, sans savoir pourquoi la tristesse prenait possession de mes nerfs, les vagues frôlèrent mes tympans dans un vent léger avec uniquement le sable entre mes mains.

L’écrin de mon âme n’était qu’un reflet venu se noyer dans les entrailles des enfers, laissant se troue brulant dans lequel mes rythmes cardiaques raisonnaient dans des échos à en devenir parfois fou. L’ambre écrasé avait laissé des marques que je ne pouvais pas attraper, elle s’envolait dans le vent de ma composition. Le soleil taper contre mes paupières, sur ma peau réchauffant mon corps. Pour la première fois cette sensation de captivassions trainé en moi, face à cela il n’y avait que l’inconnu. Autour de moi, les voix s’éteignaient et reprenaient sans que je puisse réellement les comprendre, comme des codes de banques de donné insaisissable. Le danger se consumait en silence, les risques s’attardé dans mes vertiges fantômes. Et puis tout semblait s’être calmé mais pas cette passion qui retentissait sur mon horizon. J’avais laissé une lettre signé de mon prénom Ashley, mais je l’avais reprise certainement à temps pour la bruler car c’était peut-être meilleur d’en parler. La communication n’a jamais été mon fort, pourtant j’avais cette incompréhension qui me lançait et qui me chuchoté de le faire. Ce n’était peut-être pas le meilleur moment de le faire étant donné la confusion ambiante qui était déjà posé, puis je n’en savais rien. J’étais enfermé dans ce long couloir sans réellement le vouloir mais j’y été. Les définitions de cette fascination paranormal ne me laisser pas de marbre, j’ouvrais les paupières et le ciel bleu apparaissaient devant mes yeux, j’allais parler Thunder même si je ne savais pas encore comment je pouvais dire ça. Il n’y avait pas de nuage, j’étais habitué à la saveur de la pluie mais ce ciel ne me déplaisait pas pour autant. Et puis il y eut cette chevelure déconcertante qui apparut sur ce ciel, j’avais souris bêtement parce que je voyais Hyde à l’envers étant donné que j’étais allongé. On avait certainement cette même façon problématique parfois de pouvoir communiquer et son comportement était quelque chose que j’aimais, sans réellement qu’elle s’en rende compte.

« Je suis désolée, ça doit être trop chiant de faire ça mais tu veux bien nous emmener à la maison pour que je prennes ma robe ? Et puis sans doute qu'Auréa doit prendre des affaires aussi. » Ça ne me déranger pas car j’avais envie de voir comment elle serait habillé et puis ça me laisserait un peu de temps pour réfléchir. « Oui, je veux bien, ça me dérange pas » Auréa était apparu elle aussi en courant, elle était visiblement un peu excitée comme une pile électrique, elle s’était mis contre Hyde en lui fessant un câlin « On y va ? On y va ? » alors j’avais lâché le sable qui s’écouler entre mes doigts pour tendre la main à Hyde, elle l’attrapa et je nous téléporter jusqu’à Londres d’une seconds à l’autre nous n’étions plus sur l’île de Koh-phi mais dans la métropole européenne et j’étais allongé dans le sol de leur dressing énorme. Auréa était parti chercher une valise et puis vers les chemises certainement pour Damon, et puis elle s’était mise à empiler des affaires dedans avec un air innocent, ça m’avait amusé et Hyde était parti dans les robes. « Je peux prendre une douche en attendant ? » Auréa m’avait répondu que oui en me donnant un peignoir et une serviette, je les laissais un peu seule pour qu’elle puisse se préparer et je me dirigeais vers leur salle de bain. Je fessais couler l’eau en enlevant mes vêtements pour me glisser ensuite dans la douche et puis je me laissais glisser sur le carrelage laissant le torrent d’eau s’échouer sur ma peau. J’avais certainement eu tout le temps de réfléchir lorsque les distances avaient fait barrage, surement si elle était là c’était pour des raisons. Morgan me manquait, sa souris aussi. Il comprenait mes silences s’étaient tellement plus simple. Il aurait peut-être pu m’expliquer avec son savoir et son expérience. Je posais ma tête sur mes genoux laissant la vapeur délié mes muscles, si seulement elle pouvait débloquer ma voix également pour qu’elle sache quoi dire.

Je me lavais et puis je sortais de la salle de bain avec le peignoir pour en savoir ou en était les filles. Hyde était assise et Auréa lui mettait un peu de mascara sur les yeux, Hyde avait une certaine allure qui fessait que les choses simple se sublimait sur elle. Je trouvais que sa robe lui allait parfaitement bien et d’ailleurs elle était magnifique naturellement. C’était pas mon genre de balancer des compliments mais pourtant je ne pouvais que lui dire « t’es magnifique ». Elle l’était même lorsqu’elle ne portait qu’un simple t shirt, elle ne s’en rendait peut-être pas compte et puis je retournais dans la salle de bain pour sécher mes cheveux et remettre ma robe. J’essuyais la bué du miroir en regardant mon reflet pendant quelques secondes et puis je suis repartie dans le dressing où elle était « vous êtes prête ? » Auréa s’était changée elle aussi et puis j’avais demandé à Hyde si Thunder allait vouloir prendre un truc ou pas ? Et puis comme on ne savait pas trop, on avait quand même mit une chemise pour lui. Et puis je les ramenais à Koh-phi, je regardais l’heure, Damon mit sa chemise. Thunder était là aussi et je lui avais donné une chemise ne sachant pas s’il allait la mettre ou pas comme il n’était pas très enthousiaste pour se mariage. Je les regardais et puis j’avais compris qu’ils ne savaient pas vraiment comment ça se passer parce qu’on leur avait rien expliqué, moi non plus d’ailleurs je savais juste qu’on devait sur la plage du prêt des rochers. J’avais trouvé un bouquet de fleur qui était comme un arc-en-ciel au milieu avec du blanc tout autour et puis j’avais vu un petit mot sur le côté. « J’espère qu’elle te plaise, rejoint moi à dix-neuf heure prêt des rocher sur la plage, suit les lumières. Je t’aime, Sydney. » Je l’avais tendu à Hyde en lui disant tout simplement, « Je suppose que c’est pour toi ».