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 S▲ BURN IT DOWN

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Sydney

SydneyMessages : 469
Date d'inscription : 02/10/2011

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MessageSujet: S▲ BURN IT DOWN   S▲ BURN IT DOWN EmptyMer 18 Avr - 19:24

S▲ BURN IT DOWN Joshbeechsignature4


« M’aimer est un suicide. Les gens qui ont essayé peuvent vous le dire, enfin ceux qui sont encore en vie. »
Chronos.

Coulé dans le lithium, la médication des parallèles embarque l’ébauche de mes os brisés dans l’illusion de lignes que l’on préfère n’avoir jamais croisé. Les traits cassés de mon visage n’est qu’un aperçu des chaos naviguant dans mes muscles, libérant l'illicite vie qui se terni au contact de l’eau et de l’aire. L’asphyxie n’est qu’une persistance de cries qui sont écrasé dans une facilité presque parfaite. L’ignorance est le vestige de ma protection, la seule que j’ai. Les fantômes se lies à ma peau comme une explosion nucléaire dans le ciel, mes plaies sont distillées en eux pour se fondre dans un trou invisible. Usé d'être. J'en étais creusé, mon cœur battait et pourtant je ne le sentais pas, parfois j'ai tellement eu envie de l'arracher pour savoir s'il est encore en moi. Je suis un bout de papier froissé, brûlé et donné en cendre. Ma vie n’est qu’un poids dans mon thorax qui ne veut pas s’en aller, j’en fini par avoir la nausée. J'ai toujours cru être un mensonge. Mes os se sont déguisés pour paraître mais la réalité c'est ils sont comme mes neurones, ils ne fonctionnent plus. Certain yeux sont fait pour pleurer en silence, mes larmes coulent à l'intérieur et je suis certainement en train de me noyer dans la sphère de mes yeux. La vie ma forgé pour subir cette perte, constamment. J’ai fait un pacte avec dieu, je lui promis d’aller en enfer, vous et moi on ne sera pas malheureux. Nous sommes deux, il est moi, je suis lui. Chronos m'aspire est mon démon. Jamais vous ne seriez nous différencier car parfois il prend l'emprise sur moi.

L’image était arraché, j’ai essayé de la recollé, mais cette photo c’était celle de mon cœur. J’ai cru que baiser avec dieu me soignerai, assassiné les parcelles d’humanité qui trainait mais ça n’a rien fait. On ne répare pas ce genre de chose, on les brule. L’immolation interne constante, un mode de vie longtemps tenté mais jamais habité. Sensation plastique qui recouvre mes cicatrices, fondant en eux un parfait film opaque , maquiller par toute sorte d’artifice. Il était question d’un rythme qui s’échappait sous mes pupilles disloqués, c’était mon eurythmie qui c’était enfuit dans une liberté inutile. Je suis Ken, je suis neuf mais je n’ai pas de muscles moteur. Ils ont été consentants de ma perte et moi, je n’ai fait que me perdre encore plus cherchant mon chemin. Etre fané jusqu’à la moelle j’aurai du m’appeler Balthazar mais je m’appelle Chronos. Sept lettres flottantes dans le bassin de l’univers, l’étoile la plus brillante mais qui est morte.


SYDNEY.

Il était mort, il était tellement mort qu’il s’était perdu dans les conséquences menteuse de croyance dérisoirement sincère, mais il s’est réveiller. Mon cœur violent bouffe les parois de mon torse. L’endomorphine le canalise comme un paria créant sa prison, illustre petit con qui se cache derrière son ignorance. Pourquoi m’avoir fait revivre ? Mes artères sont lentement bouffer entre elles, simplement parce que c’était vous. I'm so happy 'cause today, I've found my friends they're in my head. I'm so ugly but that's okay 'cause so are you. Mes amies vivent dans ma tête, je suis aussi insipide qu’eux mais j’en ai conscience. Entre mes doigts le vide, le néant matérialisé entre mes phalanges, il n’y a rien eu de beau là-dedans et je refuse que l’on émette l’idée du contraire. L’allergie que j’éprouve envers ma composition est certainement la plus mortel. Le néant est une autre caractéristique, on peut l’embrasser y connaitre le plaisirs mais ce n’est qu’un venin. Lui et moi ne fessons qu’un. Rendez-vous utiles à mon existence en enfonçant les clous de ma croix, j’irais boire de la vodka avec le diable.. Il y a les runes de mes émotions qui traînent, mais bordel je détruis tout ce que j'aime. La promesse ses brisées en face de mes yeux, j’ai crié en aphone pour me rappeler que je n'étais que ce bon vieux cancer. Comme lorsque j'étais petit.

« t’es le cancer, Sydney, ne l'oublie jamais. »



Le silence, le calme qui pénètre l’air comme un déni est l’état le plus symptomatique que la tempête arrive dans mes côtes de malade mental. La flamme c’est allumé en moi et comme un connard, je me suis brulé. Je suis cramé dans cette paralysie qui me détruit, pourtant la chaleur interdite m’a toujours attiré. Au-delà de la chair qui épouse la taille, au-delà de mes meurtres. Je ne l’ai pas compris tout de suite, bien trop méfiant pour cela. Le cancer n’a rien de beau et maintenant il a atteint votre chair, peu à peu vos paupières s’ouvrent et vous voyez que vous en mourez. Il n’y a aucune belle confession à faire maintenant mes chromosomes se gèlent lentement, pour se transformer en image latente. La dernière image qui existe de mon être.


Les mots me décrivant se plantent comme une suite de nombre irréelle. Les noms que vous utilisez pour dénoter n’ont pas le moindre effet sur l’origine de mes actes. Mon âme coupée est l’unique survivante du génocide de mon histoire. J’essaie de fuir le soleil, les ombres, tout ce qui existe. Je n’apprécie pas l’étalage de mon intérieur et encore moins parler de mon passé à n’importe qui, mais il parait que je dois tracer mes lignes. Revenir sur mes ratures pour mieux grandir. Ma personnalité ? C’est une sorte de grande blague, je rigole sans vraiment la comprendre. Paranoïaque, je me mets souvent une balle dans la tête sa sera pas pire que les brides de mensonges qui se balade dans l’air incolore. Je ne vois pas vraiment que le bon côté des choses, je suis un insurgé acide qui tue le temps, qui sommeil un peu maladroitement, je donne des vertiges dans les vides qui vous sépare de la monotonie. Toxico dépendant de la cigarette, j’avance dans la meute qui ne me ressemble pas. Mes valeurs s’envolent dans les ciels de terreur et mon instinct garde ma mémoire propre. La division de mon crâne lave mes peines, cassant les fragilités pré-consus. Je crache mon venin de révolte et c’est certainement qui creuse ma tombe.

Me définir ? Essayé, vous n’aurez qu’une vision de ce que vous voulez voir et honnêtement ce n’est pas mon problème. Tout pourrait être parfait, si j’étais cette vision, ce superlatif mais j’ai des ombres caractéristiques de mon aura. L’inaccessibilité est ma protection, l’ignorance mon arme. La pâleur de mon horizon s’effondre dans les considérations de vos fausses promesses. Je ne cherche pas à être vu mais à voir et à montrer. L’évolution ne cesse de me pousser au silence, j’établie les marques de mes forces et je combats. La légitimé de ma présence n’est pas essentiel aux développements de vos lumières et j'en suis parfaitement conscient. Je brule les satellites qui nous scrutent comme des fourmis, on se fait écraser comme des insectes. Bordel on est que des hommes, ils ne sont que des hommes. On est rien dans le poids de l’univers. Vos crucifixions de haine se noie le flot de vos perceptions, vous pouvez me clouer ce n'est pas un problème pour moi, juste une perte de temps pour vous.
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