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 enjoy the silence.

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Sydney

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MessageSujet: enjoy the silence.    enjoy the silence.  EmptySam 5 Mai - 18:48

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Auréa Dahlya Soan

Baker

ft. anna christine speckhart.

ÂGE ▲ x. DATE DE NAISSANCE ▲ x. LIEU DE NAISSANCE ▲ x.
ORIGINE(S) ▲ x. STATUT CIVIL ▲ x. GROUPE ◭ x.




enjoy the silence.  Kil
i am wild & i am free & i am come to you

Sur les gouttières, ruisselantes. Je l'ai trouvé sur un toit, dans sa traine brulante. C'était un matin, ça sentait le café, tout était recouvert de givre, elle s'était caché sous un livre et l'allure, fini saillir, moi aussi j'ai une fée chez moi et sa traine est brulée. D'autre ont essayé avant elle, avant toi, une autre était là. Je l'ai trouvé replié sous ses ailes et j'ai cru qu'elle avait froid. Moi aussi j''ai une fée chez moi. Depuis mes étagères, elle regarde en l'air… la télévision en pensant que dehors c"est la guerre. Elle lit des périodiques d'hiver et reste à la maison à la fenêtre; comptant les heures. Moi aussi j'ai une fée chez moi et lorsque qu'elle prend son déjeuner. Elle fait un bruit avec ses ailes grillées et je sais bien qu'elle est déréglée mais je préfère l'embrasser ou la tenir entre mes doigts. Moi aussi j'ai une fée chez moi qui voudrait voler, mais ne le peut pas.

Mon squelette est épuisé de jouer aux violences des évènements de ma vie, parfois je voudrai qu’il ne soit qu’un tas de poussière s’envolant dans le zéphire des rêves. Ne serait-ce qu’une seule seconde, j’aurai aimé me présenté à vous comme une jeune fille de dix-neuf ans parfaitement seine d’esprit, mais ça serai me moquer ouvertement de votre intelligence. Je pourrais le faire mais c’est une perte de temps. Je ne suis pas folle, enfin pas complétement disons simplement que je suis à part et dans mon monde. Dans les étoiles. Mon imagination est reine, ma créativité souveraine et je suis esclave de mes actes incontrôlables. Je crée pour vivre et quand j’arrêterai se processus de création, mes poumons auront explosés et que mes rétines se seront éteintes de ce monde. Ma sensibilité est personnelle, je n’aime pas en faire l’étalage mais elle est bien présente, parfois j’ai l’impression qu’elle scintille dans mes mains et qu’elle me sauve d’un formatage inhumain. Je suis une fille enfin d’après mon anatomie mais j’ai toujours voulu être un garçon et d’ailleurs j’ai toujours eu des amis garçons. Mon caractère est soit disant indescriptible, alors vous pouvez vous amusez à m’en imaginer un. Il y a des chances pour que ce soit le bon. Je me servir de mes faiblesses pour en faire des forces. Mes émotions sont le cristal de ses batailles, j’ai souvent perdue mais je me suis toujours relevé. Les images, je joue avec depuis toute petite. Faire croire ce que l’on veut à qui l’ont veut est un art, une protection. Lorsque je suis sincère, pure et enfantine. C’est que j'apprécie être moi-même avec vous, mais vous ne faites pas d’idée, ce n’est pas noël et vous n’avez pas l’air d’une guirlande. J’aime rire, j’aime sourire, me traîner à terre et courir dans tous les sens. Je suis une pile électrique qui se recharge au souffle du soleil à la vitesse de la lumière. Insomniaque, je consume ma vie jusqu’aux aurores en marchant à travers les messages indescriptibles que l’on me laisse dans des bouteilles jeté dans les marées des songes. Mon sang est un venin indolore qui traverse mes artères, je ne crois pas que l’on puisse être bon ou mauvais. Ni blanc, ni noir juste gris. La fantaisie habite mon paradis artificiel ; le psychédélisme est le papier peint de ma maison, les rêves en sont les fondations. Les aurores boréales sont ma plus grande inspiration, il y a quelque chose en elle qui me ressemble. Je pense que c’est leurs froids australe qui m'unissent à elles.





ANONYMOUS

TON PSEUDO/PRENOM ◭ x. AGE ◭ x. PRÉSENCE SUR 7 JOURS◭ x.
TON AVIS ◭ x. A TOI LA PAROLE ◭ x. CODE ◭ x.



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MessageSujet: Re: enjoy the silence.    enjoy the silence.  EmptySam 5 Mai - 18:51

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CITATION

enfance Anthéa







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MessageSujet: Re: enjoy the silence.    enjoy the silence.  EmptySam 5 Mai - 18:51

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« Car ce n’est pas une histoire d’amour humaine, ce sont des secousses de deux univers, qui savent et qui se touchent, réunis justement par la force de cette parenté sismique. »
Marina Tsvetaeva


syd, damon







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MessageSujet: Re: enjoy the silence.    enjoy the silence.  EmptySam 5 Mai - 18:51

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CITATION

hopital + hyde







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MessageSujet: Re: enjoy the silence.    enjoy the silence.  EmptySam 5 Mai - 18:52

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CITATION

hyde fuite, vie de bohéme, rentré a new york





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MessageSujet: Re: enjoy the silence.    enjoy the silence.  EmptySam 5 Mai - 19:07

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CITATION

new york londres







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MessageSujet: Re: enjoy the silence.    enjoy the silence.  EmptySam 5 Mai - 19:22

Joy a écrit:
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CITATION

En 15 lignes, l'histoire blabla





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MessageSujet: Re: enjoy the silence.    enjoy the silence.  EmptyMer 9 Mai - 17:09

L’implacable confusion avait lié mon être à un lit durant quelques mois. Impossible de décrocher de cette état de cristallisation, impossible de saisir les nuances de l’aire qui se bloqué dans le creux de ma gorge pour y former un nœud. Si serré, si vivement ligoté que les mots ne passaient plus. Je crois bien que chaque particule d’air qui se propager dans mes poumons étaient synonyme de miracle. Les sons se projetaient sur les parois de ma gorge asséchée. Je parlais d’une façon muette. Mes phalanges se cramponnaient aux draps comme si j’extirpais le papier peint d’un mur. J’étais capable de faire les descriptions de mon état ; j’étais allongé avec une sensation d’arrachement aussi physique que mentale. Mes côtes s’oscillées l’une contre l’autre et mon sang qui ne circulait plus correctement comme aspiré dans tout mon corps. Je tremblais maladivement de peur perdre la vie qui grandissait à l’intérieur de mon ventre. Je n’avais pas la force de crée une ellipse sur ce qui avait pu se dérouler dans ma vie ses derniers temps. Je savais que je me trouvais actuellement dans une chambre beaucoup plus spirituelle qu’il n’y semblait. J’apprenais sur moi-même, doucement, c’était sans doute égoïste de rester dans un silence, dans un état fantomatique pourtant ça me semblait être un besoin vitale. Une façon de pouvoir mieux rendre après, on m’avait prévenu. Mes paupières avaient beau être lourde des insomnies, elles s’ouvraient encore au fond des nuits. Les ombres brillaient à travers la pièce, j’avais encore un peu de mal à m’habitué à l’emplacement des objets. Ma valise n’avait pas été défaite, comme la plus par des cartons. J’avais vite saisis que je ne pouvais pas m’attaché à un endroit en particulier, du moins pas pour le moment et cela peu importe les conditions. Je m’étais levée de se lit sans regarder l’heure vue qu’elle m’était devenue complétement égale. Derrière les vitres de la fenêtre, la nuit riait sur la terre violacé et froide. Il y avait une part d’innocence dans cette nuit du mois de Mai. Mes pas se fit en douceur jusqu’à s’arrêter pour prendre en main un petit carnet argenté puis continuer jusqu'à’ à la fenêtre et me retrouver sur les escaliers en acier. Je sentis le froid arriver sur ma peau, je m’asseyais tranquillement en inspirant le crépuscule. Je m’étais immobilisé pour contempler l’inhumaine beauté de cet instant éphémère.

Je voyais la vie comme un voyage sans destination précise, juste un voyage. Je me sentais libre à l’égard de mon passé, de mon avenir ou de mon présent, cette liberté je la regardais entre mes mains ne sachant pas quoi bien en faire. Je n’avais jamais été du genre indécis et pourtant il se trouvait que je l’étais. La carte du maraudeur m’aurait bien été utile pour ce voyage. La lucidité voulait me faire comprendre je ne pouvais pas m’enfermer dans une case préparer. Une paix étrange venait me secouait en regardent le glissement des lueurs du ciel. Parfois, j’avais cette envie de simplicité sans cet effet placebo mais ce n’était pas quelque chose de juste. Je sentais le creux de mes phalanges se refroidir, accompagné d’un tremblement de larme qui me venait humidifier mes yeux trop sombre. Cette température, n’était présente qu’à cet endroit et j’avais bien conscience que c’était un tour de mon inconscient. Je resserrais le poing comme si c’était ce qui se trouvé à l’intérieur. Mes souvenirs m’étaient restaurés et pourtant je ne souhaitais pas vivre dedans. Mon optique de vivre de vivre l’instant restait tel qu’elle. Consciente qu’il fallait provoquer et se provoquer. Je fis glisser mon poing pour ensuite faire danser le bout de mes doigts sur mon ventre, ils se décrispèrent pour venir sentir l’endroit où le petit être c’était placé. Ma tête écrasé sous un monde d’ombre, pouvez-vous me tué plus que cela ? Je n’en étais pas certaine. Aucune lutte de foie n’était réalisable à ce moment-là. Brisant les lois, les batailles j’étais à l’arrêt et j’en avais fini. Dans mes yeux s’évanouissaient l’espoir, la haine du monde. Je les aspirais comme un néant. Un constat pouvait être établie était qu’ils n’avaient aucune chance de crier plus fort que moi à l’intérieur, en silence.

Ce silence justement habitait l’air de Londres et cela me perturbé en réalité. J’étais admirative des sons qui ondulaient le long des rêveries qui s’adapté au fil des mesures sur notre esprit. Ce voyage s’accompagnait de musique, cela ne fessait aucun doute pour moi. Depuis un mois j’avais repris un travail dans les coulisses de la musique. Dans le passé j’avais déjà effectué ce métier. Sydney devait faire des photos d’un groupe dans le nord de Greenwich et il m’avait dit de venir avec lui. Je me retrouvé dans les loge sans trop comprendre, je restais à l’écart assise dans un coin pour ne pas gêner la mise en scène. Je regardais Sydney travailler, il était dans son élément se fondant dans celui-ci jusqu’à temps qu’on ne le remarque plus prendre des clichés. Il y avait cette magie de créer pour donner. Un petit garçon qui se trouvait là, il devait avoir atour de six ans et il s’asseyait a côté de moi en soupirant. Je le regardais avec un sourire car il était tout simplement adorable avec sa chevelure blonde. Au bout de cinq minutes, il me proposa un bonbon contre mon chapeau sous lequel je me cachais. Le troc à cet âge-là était quelques choses d’important, j’acceptai l’offre du petit. Au bout de dix minutes, il me confia qu'il était amoureux de moi. Je le pris dans mes bras pour lui faire un câlin et il s’accrochait à mon t shirt trop large. Un homme tatoué de partout sautillait sur place respirant fortement, il était clairement stressé. L’enfant me chuchota dans l’oreille que c’était son papa et qu’il allait chanter sur scène. Atmosphère était sous tension et c'était compréhensible. Produire une performance devant une foule est toujours plus impressionnant, il y a une montée d'adrénaline qui nous fait décoller les pieds du sol. J'avançais vers l'homme avec le petit garçon, lui donnant dans les bras. Il le serra contre lui, instinctivement. Son fils l'encourageait, je pense que c'était tous simplement le plus beau encouragement qu'il pouvait recevoir. Je suis resté dans les coulisses avec le petit à m'amuser et à aider les gens de la production jusqu'à temps que le concert ce finisse. Leurs agent leurs annonça qu'il devait s'occuper d'un autre très gros groupe et qu'il allait être exclusivement sur eux. Sydney me proposa et c'est ainsi que j'étais revenu dans le métier.

Les rencontres, une succession de rencontre mais qui ne comblait en rien les vrais instants. J’écrivais bêtement une locution latine qui me venait à l’esprit lux lucet in tenebris dans une écriture pure est italique ce qui n’était pas mon écriture normale, j’assombrissais chacune des lettres. La lumière luit dans les ténèbres c’était sa traduction. Je songeais que même si les aubes étaient mortes, la poussière d'étoile était toujours là. Je fonctionnais dans un esprit de logique sans m’en rendre compte, je me sentais pas réellement en vie depuis quelques temps maintenant, de ce sentiment naissait une crainte, celle de perdre la vie qui se crée en moi à en devenir malade. Je n’avais jamais eu peur du vide et pour la première fois j’y fessais attention, tout comme les ceintures de sécurité ou passer sur un passage piétons quand le feu s’allume au vert. Ceci m’étouffer, je n’avais qu’à me laisser aller en réalité. Je me levais retournant dans la chambre, enfilant un débardeur élargie, une veste en cuir et un slim. J’étais dans mon quatrième mois et je pouvais encore bien dissimuler ce fait. Je le fessais car je voulais l’annoncer de la bonne façon. J’avais vécus les premiers mois dans une difficulté atroce, tellement a vrai dire que j’avais cru perdre cette vie. L’absence était un sentiment avec lequel j’avais appris à exister, je n’avais juste qu’à fermer les paupières pour me sentir accompagné et ce n’était pas le souvenir d’une époque que je voyais. C’était sans doute quelques choses d’inexistant, tout comme l’amour ne l’était pas réellement cessant de battre réellement. Les déclinaisons de douleurs ne me construiraient pas et je n’étais pas de ce genre-là, à faire la liste de ce qu’il y avait comme dégâts. Ils étaient-là, c’était sans doute pour ça que tant de fantôme ne se voient pas. Je connaissais les causes et l'évolution était bien présente. Je n’allais pas lutter contre une évidence que l’absence ne fessait que confirmer. Parfois, dans les instants les plus sombres, je voulais juste être aveugle, muette que mes yeux restent clos. Si clos que je sentais la présence dans les moindres recoins de ma peau, même mon odorat si amusé.

Toute la colère du monde aurait pu tomber, c’était si indélébile que personne ne pourrait s’aventurer à la comprendre. Même nue dans des draps elle était en moi, inscrit sur moi, autour de mon cou. Une révolution riche de turbulence me forçait à avancer un peu plus vite, mettre un pas devant l’autre n’avait pas été aussi facile depuis longtemps. J’avais placé mes écouteurs dans mes oreilles et j’avançais dans les rues désertes en me souciant d’aucun détail. La batterie rythmait mes battements de cœur, je courrais peut-être vers mon exécution mais s’il fallait en passer par là, j’y serais. Je serrais la main gauche autour du collier que je possédais autour du cou en promettant au ciel qu’à la fin de cette épreuve, je me serai trouvé. Je n’oublierais plus de respirer le soir et les feux d’artifices de sentiment n’iront qu’entre l’enfer et le paradis, là où nous sommes, cela qu’importe les kilomètres, le temps ou le sang. Je m’étais toujours demander si mes paroles étaient entendues. Après chaque tornades, les arc-en-ciel brulaient quand même au-dessus du monde. J’avançais essoufflée beaucoup trop sauvage pour ne pas me mêler a ma propre hérésie, même si ma poitrine me fessait mal. Je sortais du coma et je l’avais fais seule. J’avançais essoufflé, même si ma poitrine me fessait mal. Je sortais du coma et je l’avais seul. Ma personnalité était sans douce une équinoxe qui brulait le soleil jusqu’à s’échapper de n’importe qu’elle ravin dans laquel elle était poussé. Une division propice à n’importe qu’elle impacte ne fessait que les rassembler en une seule tel les deux faces de Janus ne vivait qu’en un.
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Sydney

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MessageSujet: Re: enjoy the silence.    enjoy the silence.  EmptyMer 9 Mai - 17:10


Respirer, tout commence par là. D’une naissance jusqu’à une mort, tout ce tenait sous ce voile aussi léger que fugace. Inspirer la délicatesse de l’air inodore, expirer les torpeurs de ses peurs bruyantes. Ce mécanisme essentiel au fonctionnement de mes poumons était un combat invisible mais quotidien, je m’appliquais même dans l’ombre à exhaler pour donner le meilleur à ce qui grandissait à l’intérieur, dans le creux mon nombril. Les premier mois qui avaient suivi le départ de Damon pour une autre vie, m’avait fait hurler à l’intérieur pour toute sorte de raisons. Ils y avaient celle qui pouvait paraitre égoïste tel que le manque et puis des douleurs qui me vidés de toute vie, celle-ci étaient plus intérieur. C’était celle que j’avais pu causer, je les sentais dans mes os. Dans le fond, je savais pourquoi je ressentais les peines qu’il avait fait taire juste en mon nom. Il y avait eu une sorte de déclique dans mon esprit me demandant pourquoi je ne l’avais pas senti plus tôt. On ne s’était pas donné l’un à l’autre d’une façon plate, jamais. Son départ m’avait fait grandir. Oui, grandir. Le connaitre mieux encore certainement. On dit que l’on ressort des situations insupportables, plus fort mais je ne pense pas que ça soit réellement le cas. Peut-être qu’on en ressort jamais, il y a ces cicatrices à l’intérieur qui sont ouverte. Elles émanent d’une puissante tristesse, colère et de rancœur. Elles étaient là, qu’importe où on allait avec qui on se trouver pour oublier. Les renier ne fessait que les accentuées, d’une façon anarchique et funèbre. Damon était rancunier, je n’oubliais pas. Je savais. C’était là, en lui comme en moi. Elles ne peuvent être pansées, elles devaient cicatriser seule. Je ne souhaitais pas qu’il s’esquinte dessus. Le test de grossesse en main, j’avais été pétrifiée, le souffle bloquée. C’était une sensation que je n’avais encore jamais connus étant donné les circonstances. Premièrement, j’avais eu peur pour mon bébé, je savais que les erreurs que j’avais pu faire dans le passé allaient être dures à assumer mais que je devais le faire. Notre bébé, ma permit de respirer. Elle n’était pas le fruit de n’importe qu’elle relation, je n’ai pas su retenir mes larmes j’étais heureuse même si ça me m’était en face d’une sorte de peur que j’ai toujours eu. Mon corps me parlait, Damon était là, partout. Encore et il ne m’avait jamais réellement quitté. J’avais la sensation d’être devenue folle mais je savais qu’il serait toujours là, même si physiquement non. Lisa était une surprise inattendue, c’était effrayant d’un côté mais de l’autre c’était un trésor sur lequel il fallait veiller. Elle m’a donné des forces quand je n’y arrivais plus.

« Arrête de bouger dans tous les sens, tu me fais mal »

C’était étrange de sentir que tout bouge à l’intérieur de vous, on ne voit pas forcément les changements lorsqu’ils se produisent. Ce contenter de suivre les mouvements sans les voir, c’était parfois ce qu’on fessait inconsciemment. Je m’allongeais dans le lit, mettant un casque sur mon ventre. Elle y était très sensible, rien que les vibrations des voix l’énervées ou la rendait calme. Je lui fessais écouter de la musique pas n’importe laquelle à vrais dire. J’avais choisis un morceau de piano jouer par Damon, il y a bien des années lorsqu’on était à Los Angeles. J’avais retrouvé un carton remplie de cassette d’enregistrement et je lui fessais écouter. Elle écoutait cessant de bouger dans tous les sens. Je fermais les paupières, Damon était revenu quand je lui avais dit pour Lisa. Je savais qu’il allait être un père formidable et qu’il l’aimait déjà d’une façon rempli de tendresse qu’il ne voulait pas forcément qu’on voit. Il était là, il aurait pu choisir de tourner le dos comme certain homme font. Il ne l’avait pas fait. Malgré tout ce qu’on a pu vivre, le meilleur comme le pire. Le déni comme la passion, il y avait une chose constante qui ne se briserait jamais contre toutes les attaques du monde. Je n’ai pas su le comprendre tout de suite. Damon était une partie de moi, que je le veuille ou non. Je ne savais pas comment, ni pourquoi. Il était la meilleure partie de moi, celle qui brule ma raison, anime mon corps et libère mon esprit. Depuis qu’il sait mis à jouer le morceau que je fessais écouter à notre enfant. Je l’ai entendu et les sens avaient tout perdu leurs directions. Il m’a emmené loin dans un paradis céleste même s’il y avait des fausses notes, elle ne la rendait pas moins authentique pour autant. C’était peut-être ce qui la rendait magique, alors que certaine erreur auraient pu la salir, non. Ca la rendait réelle, juste vivante dans ses blessures et je me rappellerai de tout même dans l’ombre. Tout ce que je sais, s’enfuie même lorsque c’est cassé. Le temps s’échappe et se perd dans ses poussières. Le requiem de Damon s’élève sans limite, dans une liberté insolente cachée aux yeux de tous et il l’a joué en moi silencieusement même à des milliers de kilomètre. Il n’a jamais disparu, je l’ai entendu dans l’éclatement des étoiles même lorsque j’ai voulus devenir sourde. J’avais mis l’un de ses pulls, qu’il m’avait prêté ça me fessait sourire parce que je ne savais pas pourquoi mais simplement le fait de l’avoir sur moi, me fessait me sentir en sécurité. Ça pouvait paraitre stupide mais c’était ce que je ressentais. Son odeur y était éparpillée et je respirais son odeur comme si je venais de sortir la tête de l’eau depuis trop longtemps. J’ai eu la sensation de me noyer sans. Ma respiration c’est apaisé, les battements de mon cœur aussi laissant le monde tourner sous les notes de musiques qui ne cessaient de vibrer sur les parois de mon ventre. Je me suis endormi.

Le ciel avait revêtit son habit obscure et scintillant, depuis que je me savais enceinte, j’avais arrêté de m’occuper du groupe. Par sécurité, elle n’était pas comme les autres parce que Damon et moi étions différents. Et on ne savait pas bien à quoi s’attendre sur ses besoins. Je sais qu’en Février, j’étais faible et on avait dû me transfuser du sang à Boston. Je restais à la maison, cherchant toute sorte d’occupation et j’avais trouvé dans le fait de faire de la couture un moyen de me concentrer. J’entendais la porte s’ouvrir et se fermer, je sentais son odeur parce que mes sens étaient décuplés. Je continuais ce que je fessais, je ne l’entendais pas respirer, ni les battements de son cœur frapper contre son thorax mais il n’avait pas besoin de ça pour exister à mes yeux, pour que je le ressente. Et pourtant, sa présence avait changé le comportement de mon corps accélèrent silencieusement mon fonctionnement. Mon regard c’était posé dans les siens, sa peau aux couleurs des nuages blanchâtres et ces yeux reflétant son être. Il me touché de multiple façon que je n’ai jamais su expliqué parce qu’il était Damon et que son caractère était une guerre mystérieuse. Je pourrais le détailler des millions de fois, il y avait toujours des pépites et des mystères plus sombre que je ne cessais d’admirer. C’est sans doute pourquoi le silence ne m’avait jamais dérangé bien que parfois douloureux, il m’avait toujours parlé d’autres langages. Il m’avait souris, puis il s’était installé à mes côtés. Sa voix se dénoua doucement

I'm here again a thousand miles away from you, a broken mess, just scattered pieces of who I am. I tried so hard, i've come undone but you make sense of who i am like puzzle pieces in your eye. Then I'll see your face, i know I'm finally yours. I find everything i thought i lost before, you call my name i come to you in pieces so you can make me whole.




« J’aimerai bien qu’on parle. De nous deux. »

Nous. Nous deux, lui et moi. Damon et Aurèa. J’avais cessé de tenir les tissus entre mes mains. Et en réalité, je ne m’attendais pas ce qu’il veuille parler de nous. Je hochais la tête calmement ne sachant pas du tout a quoi m’attendre. J’avais compris la réalité sans limite de ce que j’éprouvais pour Damon. Absolu, presque effrayant qui s’introduisait en moi. Ma force à rester malgré les bombes, je me sentais coupable de cette force. Je ne l’ai pas choisi et elle est beaucoup trop sauvage pour que je l’apprivoise. On m’avait demandé d’effacer cela, que c’était préférable mais je n’ai jamais réussi. Je m’étais absenté de ma propre enveloppe en affirmant que je reviendrai dès que possible, essayant trouver ma place dans ce qui n’était qu’inconnus. Ce n’était pas là, dans ces endroits que je me sentais en sécurité étant comme un fantôme. Je n’ai pas réussis à faire ce qui était préférable de faire et je ne pourrais jamais pour la simple raison que ça me maintenait doucement en vie. Ce n’était que pure vérité. La douleur était un compris plutôt que de s’éteindre. Damon de son cotés avait sans doute eu une expérience différente, il s’était retrouvé, il en avait besoin et cette façon d’être imprévisible était inscrit sous sa peau. Nous deux, différents mais avec l’inexplicable dans chacune de nos cellules. La vérité était que tous les tremblements et épreuves n’avaient pas fait tomber ce que je pouvais ressentir pour cet homme, aussi insaisissable que sensible caché sous des apparences qui ne m’avait jamais effrayé. Il arrivait à entrer quelques soit les instants mais dans tout ça j’avais compris les sacrifices qu’il avait pu faire et je m’y refusais à ce que sa puisse se reproduire, même étant à des milliers de kilomètres. Je ne savais pas s’il allait repartir, ni quand. Cet idée me rendait triste mais il ne devait régir que sous ces vœux non par rapport à ma tristesse. Je prenais sa main sans poser mes yeux dans les siens. Elle était totalement froide, quant à la mienne, elle était brulante. Je plaçais simplement ma main dans la siennes. Ces doigts fins de musicien contre mes doigts fébriles et ardant. Je l’ai regardé durant quelques seconds ne sachant comment sortir mes mots. J’étais consciente de tout ce qui c’était passé mais il était toujours là. Comme éternel à renaitre de ses cendres à chaque fois. Il était le Phoenix de mon cœur et rien, ni personne ne pouvait changer cela, même pas lui avec les désirs les plus destructeurs. Je ne sais pas pourquoi et j’avais conscience de ne pas le mériter dans son entièreté mais c’était là. J’étais émotive et encore plus à cause des hormones, je ne voulais pas pleurer.

« Nous, deux… je sais qu’importe où tu te trouves, il y a des sentiments qui ne peuvent pas s’éteindre. Comme des douleurs qui brûlent encore. J’aurai du voir certaines marques, j’ai compris trop tard. On va avoir un bébé et je sais qu’elle aura tout l’amour qui se trouve en chacun de nous. Ce n’est pas facile de parler. Quand tu m’as dit que tu croyais qu’en une seule chose ; en la vérité de ce qu’ont été. Je sais et c’est exactement en quoi je crois sur nous deux »
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MessageSujet: Re: enjoy the silence.    enjoy the silence.  EmptyMer 9 Mai - 17:10

La chronique des songes devient plus violente lorsque mon visage est contre le sol. La vulnérabilité m’enlace dans ses bras tranchant et ne m’en laisse pas indemne. On peut alors m’enterrer dans les creux des océans, je me fane paisiblement. Il y à la vie qui se perd. On me tue. Je me tue. J’oublie de respirer. C’est comme ça que j’ai trouvé mon passé, dans mes faiblesses j’ai tiré mes forces. Luttant pour la grâce d’une chance d’un vent de bohème. Mon passé qu’on avait écrasé se retrouver entre mes mains. J’ai eu envie d’arracher les veines, m’hotter le sang. Comment aurais-je pu me comprendre sans une partie de mon histoire ? Mes hier étaient une de partie des pièces qui m’avaient manqué. C’est pour cela que la communication c’était brisé dans l’écrin de mes messages. Ma vie était mon histoire, mes souffles créent des mots et mes pleurs étaient des tirades. Elle se fessait au milieu de rien, dans l’essence des évènements. La fantaisie de l’agonie n’est qu’un artifice éclaté dans le mirage de l’opium. La chronique de mes songes me fait grandir, évoluer dans de puissant mutisme. Mes échappés demeurent les plus belles, elles s’extraient de toute mon énergie dans la moindre infini de ses particules balafrer et comateuse. Partant de la fin de mon monde jusqu’aux cendres de mes destructions, je libère mon âme. J'avais mes démons à combattre seul. Le feu cette combinaison d’atomes peut détruire, créer, chauffer, s’éteindre, noircir, rougir et j’en passe. C’est dans ces cendres qu’il peut reprendre vie, lorsqu’il est mort. Mes paupières s’ouvraient doucement et sereinement, se déchargeant de tout le noir qui s’était imprégné à l’intérieur de mon esprit. Je le regardais et ses reliefs se présenté dans toutes leurs puissances. Parfois cette puissance est invisible quand il se repose dans la citadelle des rêves, elle se transforme en une simplicité de traits. Cette puissance il me la transmettait d’un regard bien placé, effaçant la moindre forme de désolation, de peur ou ce genre de trouble qui nous tire dans notre obscurité. Je ne savais pas ce qu’il pensait, je ne savais pas bien que j’avais les capacités de le faire mais je m’interdisais de violer son intimité. J’avais trop de respect pour lui, pourtant j’aurai aimé savoir à cette instant comment il me voit. Cette nuit est une nuit comme les autres, elle se trouve dans le temps coincé entre le paradis et l’enfer si l’on croit aux différents mondes qui nous entourent. Dehors, la lune brille intensément tout comme les autres nuits à Londres pourtant tout semble différent. Tout, même si les objets de cette chambre n’ont pas bouger. Cette nuit est différente pour moi en tout cas, Damon est revenue.

Le silence est un royaume qui s’étend au bout de mes lèvres, ma langue peut se tordre dans tous les sens aucun son n’en sortira lorsque j’habite dans ce royaume. Cloisonné dans les protections confortables des non-dits, je deviens sourde à toutes ses marques de doutes. Me tendant aux limbes sans fin inspirant les funérailles de mon muscle moteur. J’ai noyé les sonnets qui parlé de mes sentiments, je l’ai fait pour ne plus blesser les hallelujahs cherché au bord des eaux du monde. Ils émanaient d’une vérité trop brulant pour les chimères des nuits. Pourtant, leurs flammes m’avaient éclairé dans le tréfonds de mon squelette agité. Il me semble avoir été indolente de mes souffles, effaçant les moindres de mes empreinte digitale pour retrouver un refuge aussi stérile qu’une salle d’opération. Sans aucune bactérie pour me cisailler la peau. La vérité ? Des questions planent au-dessus de mon échine fessant vaciller les certitudes. C’était certainement idiot de se poser toutes ces questions qui pleuviner dans le creux des terres froides. Il me restait une part d’invincibilité dans le flot de mes cellules, balayant ses questions de pourquoi et de comment. Ne pas gacher des pensées supplémentaire à discerner ce qu’il avait de juste ou ce qui ne l’était pas, les raisons ou ce genre de doute qui planait au nom de la peur. Damon possédait en lui les sons de mon alphabet car en matière de silence, il s’avérait être le roi de ce royaume. La confiance que je lui portais été une cendre d’étoile brûlant dans l’arrière de ses pupilles. Chimiquement conjugué dans un halo frénétique, scintillant de ses forces, luisant de ses faiblesses pour survivre malgré les torrents qui l’emportent. Sans cette vagabonde liaison, je restais en quelques sortes analphabètes. Dans une aphonie qui traine mes émotions. Le paradoxe de nos différences aurait pu ne jamais nous faire tomber dans ses charmes qui s’enclenchent lorsque nous sommes réunis. Les molécules de mon air semblaient se perdre dans l’étoffe de sa présence, laissant ma sensibilité gagner du terrain. Il était le seul à pouvoir enclencher cette cadence inexplicable, dans chaque étape de nos vies. Vivant ou entre la vie et la mort. Dans une perfection inexistante, infecter de sentiments qui s’échauffent entres eux. Même casser, s’appelant sans notes perceptible à l’oreille humaine. Je ne suis pas le genre de fille à éprouver des sentiments si fort, trop fort parfois pour mes os si maigres. A notre rencontre, je devais épouser son frère et il y a eu Damon. Le garçon. Mon sang, mon rang, tous ses principes qui caractérisé ma valeur lui étaient égaux. Il me regardait de façon si précieuse, on ne m’avait jamais regardé comme ça. J’étais ailleurs avec lui. Quelques part ou les rues ne possédaient pas de nom. Seul lui pouvait m’atteindre, me toucher, me regarder. Et même s’il quittait le chemin, même s’il s’en séparait ce ne serait pas à tout jamais. Dans tout ce que je pouvais voir, Damon était la seul exception qui persisté depuis des siècles. La seule exception qui réussit à me faire donner des mots. C’est sans doute pour cela, qu’une force que je ne connaissais pas ma fait poussé à rester dans l’inconnus. Je suis amoureuse de cet homme, Damon Matthew Tallis. Vampire ou Humain, Musicien ou Homme et cela depuis, que j’ai entendu l’harmonie de ses silences, depuis qu’il m’a touché sans le voir. A cet instant, j’ai su que c’était indélébile. Ce souvenir est gravé en moi et sa présence ne fait qu’en créer de nouveau. Un renouveau, les nôtres. Je suis coupable, oui, coupable de ressentir ses sentiments pour lui car a certain moment mon amour la blessé. Mon cœur ne c’était pas brisé, c’était tout mon corps qui avait ressenti son absence.

« La vérité sur ce que nous sommes, plutôt. Je n'ai jamais mis cette phrase au passé. Tu sais, j'ai eu beau partir. Dire que tout était fini entre nous. Au fond, toi et moi, on sait bien que ça n'a jamais réellement fini, tout comme ça n'a jamais réellement commencer. Je pense qu'on est au-dessus de ça. Les choses conventionnelles, ce n'est pas pour nous. »

J’avais hoché la tête en restant calme. Ces mots me touchaient et se répétés en écho dans ma tête. Damon avait une patience incroyable avec moi qui avait du mal parfois à m’exprimer. Toutes ses nuits de troublent, de peur étaient derrière nous, derrière moi. Il y avait une sorte d’apaisement dans mon cœur. Non, nous deux ce n’était jamais réellement fini, ni commencé. Ces colère ne me fessaient pas tomber, le moindre détail de sa personnalité qu’il me laissait connaitre ne me fessait pas peur. C’était juste mes sentiments pour lui qui me fessaient quelque fois peur, ils étaient puissants et se dire qu’on donne les armes à une personne pour vous détruire n’est pas choses facile à accepter mais ce n’était pas un homme comme cela. Il ripostait juste aux attaques se cachant sous des illusions. Je l’avais accepté au fur et à mesure. Désormais, j’avais totalement confiance en lui sur ce propos, chose qu’avant je restais sur une défensive inaudible. En réalité, Damon était quelqu’un de très sensible seulement c’est une chose qu’il ne dira jamais. C’est dans tous ses multitudes de façons d’êtres que je l’aime. Non, les conventions n’existent pas entre nous bien qu'elles m'auraient rassuré. D’ailleurs les cases qui fallait remplir n’étaient pas vraiment faite pour nous non plus. A l’instant où il m’avait embrassé et que l’on s’était donné l’un à l’autre. Une sorte de lien invisible s’était créé. Etant né du feu, j’ai fait de la pluie ma plus grande allié alors quand toute l’eau des nuages en colère pourrait noyer mes os, je resterai dans la plus grandes des adversités de chacune des particules qui le compose. Notre lien est d’or à l’intérieur protégé dans une doublure d’argent. Cela pouvait être effrayant mais je savais qu’il était vitale d’une certaine manière. Dans le tourbillon de son esprit indomptable, il savait que j’étais à lui d’une façon qui défié les principes et pourtant, il n’avait jamais rien demandé, ni même voulu. Ça c’était fait.

I still believe it's you and me'til the end of time.


« Je savais que j'allais revenir un jour où l'autre. Lisa n'a fait qu'accélérer les choses. Je suis un garçon compliqué, enfin tu le sais déjà mais j'avais besoin de prendre du recul. Et je sais que toi aussi tu en avais besoin même si tu ne comprenais pas au début. Seulement, mes sentiments, ceux que j'ai toujours eu envers toi, ils ne sont jamais partis. Et j'ai eu beau me battre contre ça, les rejeter, je n'y suis jamais arrivé parce que j'ai compris trop tard moi aussi. J'ai compris trop tard que ça me gardait vivant. Vivant dans ma tête. Que sans toi, je me perdais par particule. Lentement et que ça me faisait trop mal. C'est pour ça que je voulais qu'on en parle. Parce que je pense que les paroles que j'ai pu te dire, sur notre relation, comme quoi tout était fini ne sont peut-être plus d'actualité. »

Mes doigts se perdent sous sa peau, mes phalanges resserres les sienne. Même dans l’absence, elles n’ont plus se délier. J’ai senti le froid de ses os les effleurant dans mes plus grandes peines lorsque sa présence s’effacé. Je croyais être folle. Je continuai de serrer doucement sa main, l’hiver me tenait dans le paradoxe de sa chaleur. Ma voix essaie de dire ce que je ressens, mais les mots que je connais ne suffisent pas.

« On est là, toi, Lisa et moi. Je te connais de ce que me montre, de ce que je ressens et je sais que tu as besoin d’être seul, que tu dois bouger pour te sentir bien et moi je me sens bien avec toi, peu importe où. Je me suis senti prisonnière à Londres, j’ai enlevé mes affaires de la valise uniquement quand j’ai su que j’attendais notre enfant. Je ne t’ai pas cru quand tu as dit que tout était fini car même si tu n’avais plus de sentiment, les miens ne sont jamais partis. C’est surement difficile à croire mais ils se sont renforcés, je me suis dit que la peine que je ressentais était un simple compromis, si je n’aurai rien ressenti sa aurai voulu dire qu’on ne s’aimait pas comme on l’avait prétendu. C’est compliqué pour moi d'en parler, j’ai jamais pu contrôler mes sentiments pour toi. J’en ai même eu peur parfois. Sur notre relation, j’ai une peur à cet instant. J’ai pas envie que tu te dises que c’est mieux pour Lisa que tu sois avec moi. Le mieux c’est qu’elle est un Père heureux, bien et qu’il ne se sent pas emprisonner par ce que je suis tombé enceinte. C’est ce que je ne veux pas, que tu perde des choses auquel tu as renoncé et qui t'ont déjà fait du mal. »

Je ne voulais pas le voir ce couper à nouveau, je savais que dans toutes les configurations possible. Lisa aurait son père avec elle et c’était le plus important à mes yeux. Ce que je ressentais pour Damon était partout en moi, je savais qu’importe où il serait, avec qui il serait, qui il aimerait. La poussière d’ange serait toujours en lui. Notre essence, nos sentiments, notre amour. J’étais plus sereine maintenant que je savais d’où je venais, j’étais plus forte maintenant que je savais que l’on avait quelque choses d’invincible à mes yeux. Je savais qu’il n’était pas quelqu’un qui aimer qu’on le touche, c’est pour ça que je ne le serrai pas dans mes bras et pourtant j’avais envie de le sentir contre moi. Encore. Toujours. C’était lui l’homme que je sentais la dedans partout, tout comme il m’avait fait comprendre que j’étais la femme qu’il sentait partout en lui. Il vivait à mes yeux, même s’il avait besoin de sang pour rester présent. C’est sans doute pour cela que je n’avais jamais eu peur de lui donner le mien même si c’était tout à fait étrange. J'ai confiance en lui, d'une façon qui ne s'explique pas. Je me perdais dans son regard calmant ma nervosité laissant ma sincérité parler.

« Je t’aime Damon, vraiment et d’une façon absolu. Peut-être que je suis la première utopie que tu es rencontré mais sache que tu es la mienne dans le moindre de ces paradoxes. Qu’importe où-tu iras, je resterai et sa dépasse les notions de distances. Je veux pas que tu te perd, je suis là, avec toi et sa dans n'importe qu'elles circonstance. Les mauvais moments comme dans les bons et même dans tes colères qui peuvent être destructrice. Je reste malgré tout ce que tu peux pensé en l'étant. Je suis amoureuse de toi. Tu es certainement la meilleur partie de moi parce que je sens même quand tout ce perd en moi. »

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MessageSujet: Re: enjoy the silence.    enjoy the silence.  EmptyMer 9 Mai - 17:12

La fluidité de l’aire s’est étouffée dans mes poumons illusionnés dans mes rêves incolores, le dialogue sourd reste clos dans la chaleur de mon ventre pour ne pas qu’il explose. Les éclipses passent dans mon paradis noir, ne bougeant pas je laisse la douleur et l’idée du temps mourir dans l’autre côté tout en flottant sur l’océan. Les angoisses de la famine ne me touchent plus, les afflictions de ma mémoire s’éteigne dans un éclat insaisissable. Nos déplorables aventures sont présentes et le seront toujours. Le repos de mon esprit usé s’ouvre sous l’illusion de ses traits qui se promène dans tête. Cette facilité de s’envoler à travers nos imaginations, je partageais sans doute ça avec mon meilleur ami. Depuis que Lisa était dans ma vie, c’était toute ma vie qui s’était transformé mais aussi moi-même. La patience se trace sur mes traits, la simplicité des mouvements quotidien qui me fessait sourire, lui apprendre dans le calme du vent diverse étape de sa vie, la faire rire alors qu’elle pleure de douleur à cause de ses dents alors que je suis impuissante contre cette étape. L’ecchymose imprimée à l’intérieur de ma peau se refroidissait, j’apprenais à me distraire de cicatrice à avancer à ma vitesse et l’amour inconditionnel qui exister entre mon bébé et moi m’aider beaucoup. Sans doute que c’était la même chose pour Damon. Quand je le voyais s’occuper d’elle, automatiquement un sourire se dessiner sur mes lèvres. Lisa a un papa qui était formidable avec elle et j’aspirais qu’à nous deux, elle possède tout ce dont elle ait besoin pour bien grandir. Parfois je m’amusais à lui apprendre des choses pour qu’elle les fasse à Damon, comme gonfler ses joues, ronronner enfin une imitation proche. La peur s’éloigner lorsque que je pensais à Lisa, ce dont j’avais peur c’est d’une mauvaise nouvelle.

Chacun des instants passés à leurs côtés étaient précieux car personne ne savait de quoi demain serait fait. Ce n’est qu’avec le recul, en observant que je voyais les choses les plus évidentes. Mes erreurs, les siennes, tout ça se baladait dans l’espace du passé qui fessait partie intégrante de chacun des jours. J’avais perdu la mémoire à plusieurs reprises et je ne voulais plus perdre tout cela, même s’il était évident que ne plus avoir ses souvenirs en cendres aurait pu être une option mais je n’en veux plus. Nos difficultés à parler de nous deux étaient largement visible, pour ma part c’était parce que cela me touchait tout simplement. « Merci de l'être dans ce cas mais oui, ça ne change pas grand chose. Je suis pas en verre, je me briserais pas encore car j'ai plus tellement l'envie de me laisser faire sous prétexte que j'ai de l'estime pour quelqu'un. Je pensais que l'amour, c'était quelque chose de bénéfique. Seulement, à New York, c'est pas comme ça que je l'ai senti. Pas du tout même. Je savais pas que l'amour, c'était souffrir. Je savais pas non plus que souffrir pour ce sentiment était normal, c'est tout. » j'écoutais ses paroles, je comprenais ce qu'il voulait dire. « Je ne le savais pas non plus, je savais pas que ça pouvait faire autant de mal d’aimer quelqu’un aussi fort. En devenant maman, j’ai compris beaucoup de chose et sa se confirme à chaque fois que t’occupe d’elle. Je sais pas vraiment la définition de ce qui a entre nous, mais je sais que c’est précieux ce que vous êtes pour moi ».


Ma chair brûle dans une chaleur inconnue, elle s’étouffe parfois sous cette candeur illicite, incompréhensible mais cette température venait de mon corps et avec le temps j’apprenais à me maîtriser, pour ne plus étouffer. Mes iris se sont décrocher des siennes et je m’étais rapproché en posant ma tête contre son torse. Mes os se sont serrer contre les siens et peut-être que ce fut sans raison ou alors il y en avait autant qu’il existait d’atomes qui gravitait autour de nous. Les paupières closent entre le paradis et l’enfer, le silence de sa peau, j’écoutais la mélodie de son âme. Le Phoenix battait le rythme de ses mouvements qui me fascinaient toujours autant. La nécessité d’aligner des mots se pliés en origami invisible, je me sentais ailleurs dans ses bras. L’oiseau indomptable du feu et des cendres ne fessaient qu’un, comme si l’esprit du mythe c’était réfugier dans son enveloppe même lorsque la terre tremblait sous les séismes, que les tornades soufflaient dans l’air, que l’eau se mettait à s’agiter dans la nébulosité. Il restait présent. Damon avait cette température qui pouvait me contenir contre lui, mes tympans s’échappaient dans l’harmonie qui m’avait manqué mais que je n’avais jamais cesser d’entendre dans mes souvenirs qui me berçaient. Les ondes n’avaient rien de chimique, de reconstruite elle émanait purement de lui-même si physiquement, il était déclaré sans battement de cœur. J’ouvrais les yeux pour le regarder, pour voir ses lèvres se plier dans des rictus anodins précieux qui naviguaient au creux de mon esprit, non pas de mon corps, de mon esprit celui qu’il l’avait rencontré il y a des années. Peut-être que son esprit était ancré dans le mien pour qu’on s’ignore. Ma respiration transparente venait souffler sur sa peau dans les cieux levant.
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