ashley mary lee angst

SURNOM(S): Ash, téquila pour HeavyΔ ÂGE: 24 Δ DATE ET LIEU DE NAISSANCE: écrire ici Δ ORIGINE(S): écrire ici Δ STATUT CIVIL: écrire ici Δ PROFESSION/ÉTUDES: écrire ici Δ ORIENTATION SEXUELLE: écrire ici Δ PARTICULARITÉ(S): écrire ici Δ

► GROUPE DÉSIRÉ.

DESCRIPTION, PERSONNALITÉ, INTRO - Les vibrations des sons secouent les atomes de mon corps, les particules immortelles des ondes qui sont les seules à faire battre mon cœur. Ces notes uniques qui s’enchainent dans ma tête, qui s’imprime dans mes os. Des rythmes hérétiques qui s’éclatent dans mon aire. Ma respiration qui s’anime à chaque claquement, frôlement divins. Les ombres s’enlisent dans ma colonne vertébrale en s’accrochant. L’autopsie de mes existence n’apportera rien mais c’est un risque je prends. Mes ethnies se reflètes dans mon passé, aujourd’hui elles bercent mes cicatrices dans le cirque de ses morsures. Ma vie est une suite de fuite mal incalculable, un souffle silencieux qui traverse les cieux. C’est sans doute ce qui crée sa perte.

Les combinaisons des douleurs se sont enchainé, mes entrailles se sont ouverte et elles ont encaissé tous les coups qu’il y avait, même ceux qu’il n’y avait pas. Echappée. La fuite est constante, elle consolide mes muscles comme une respiration nouvelle. Les empires ont échoué dans leurs combats, j’empreinte mes routes sans gloire car tout cela n’est qu’un jeu qui éclate entre nos doigts. Calme trompeur. Le spleen est imprimé sous ma peau tel un nuage d’illusion, les yeux délavés par la vie. Les belles choses apportent les larmes alors je tache de ne rien croisé de beau. Les questions sont des ribambelles de mots qui s’enchainent dans mes carnets, la déception trône comme un soleil noir, je maquille mes faiblesses dans les vides qui creusent mes iris. Esquivé les balles comme on reçoit les ondes de nos téléphone mobile. Verrouiller à double tour sans réelle sens je persiste à exister sans avoir trouvé un but à mon existence. Au fond ça n’a pas d’importance. Mon anatomie n’est qu’un reflet guidant les spasmes dissonant de mon être. L’orbite enflammée se calme sous les enchainements de mon corps, les toiles partent dans les fumées des néons qui guident mes pas.

BANGARANG.

Δ Amère, défibrillation comateuse qui s'incline sous nos yeux, les sentiments provoques la mort. Sur mon coeur, il y a cette perte qui se déchire. L'unique bride d'attache qui me restait s'est éteinte, ce soir là. T'était incapable de l'aimer, à croire que c'est dans les chromosomes de notre mère de ressentir ça pour le néant . Pour lui dire qu'elle était ma petite soeur, la serrer dans mes bras même si ce n'est pas une habitude que j'ai et qu'elle valait mieux que vos comportement destructeur. Oui, elle valait mieux. Je t'ai détruit autant que j'ai pu, je t'ai fissuré les veines pour me venger de ce que tu lui avais fait. Pour me rendre compte qu'au final que t'était un handicapé des sentiments. J'ai découvert la tristesse dans ton sang. Et puis tu m'as ramassé pour veiller sur moi alors même si je n'oublie pas, tu reste quand même mon frère.

CITATION.

Δ Les cries ne sont que des supplices dans mon esprit que j’apprends à faire taire. Je suis intoxiqué à l’immortalité depuis mon pacte avec l’enfer et je voyage n’importe où dans ce monde que je n’ai jamais considéré comme mien. Les dissipations des nuits s’égrènent de façon malsaine. Le danger est un mode de vie qui m’excite, qui rend mon existence moins morne. La mort de proche ne me terrifie pas car je n’en n’ai pas. Les personnes que j’apprécie possèdent eux aussi l’immortalité. Ma mort n’aurait pas été un évènement en soi, bien au contraire mon cadavre sépulcral aurait erré je ne sais où et la vérité c’est que ça m’est totalement égale. Meurtrie par l’horizon de la lassitude de mes respirations, je me suis échappée de Londres pour Tokyo. Je suis en face de cet immeuble, sur son toit avec ses néons qui brillent et qui me fascine. J’avale ses pilules sur pilules ne sachant même plus à quoi elles correspondent. Tout ce que je sais c’est qu’elles m’emmèneront loin de la terre pour quelques temps, mais que ce n’est pas assez fort pour faire taire, les cris de raisons qui me pousse à élimer tous les sentiments qui sont sur mon passage. Les images tremblent dans ma tête, je suis enfin ailleurs. La lumière s’étale dans mes pupilles comme un chemin à suivre, totalement tracé juste pour moi. Je sens mon sang se perdre mes veines dans un totale silence. Tout s’éteint et se ravive rapidement. Les hémoglobines se stoppent et brulent mes artères. Les sons, les lumières tout ce confond. J’existe à travers ce corps qui disparait comme une bulle d’oxygène qui traverse la stratosphère de tous les songes. Je m’allonge sous le ciel étoilé de Tokyo une ville qui ne dort jamais. Je ne suis pas, personne n’est plus et les connards qui battent, viole, défonce des crânes n’existe plus. L’argent, je ne connais même pas son existence. Je suis dans mon paradis artificiel qui s’échinera dans quelques heures. Je suis une fille, plutôt un garçon. Je ne sais plus. J’avance, passe la rambarde l’air se meurt dans mes poumons et réellement ? Je saute. Je laisse la chute m’emporter pendant quelques millièmes de seconds et je disparais. J’entrais dans une boite à Tokyo ou je passais plusieurs heures. Le temps que l’effet des produits que j’ai ingéré se dissipe.

Los Angeles, la cité des anges. L’heure n’est pas la même qu’à Tokyo mais j’en ai rien à faire. Je m’approche du bar et je demande une vodka, ainsi qu’une téquila. La musique se lève dans ma tête et je me mets à bouger dans tous les sens. Je me fane à vibrer sur des contacts de corps inconnus. Filles, garçons ça m’est égale. L’alcool me brule la gorge mais je continus de danser, en voyant les personnes se dupliquer en millier de colore. C’est magnifique toutes ces couleurs qui m’éclairent. Une ombre se met contre moi, élabore mes formes, me chuchote des mots. Je le reconnais, c’est Lazarius certainement le démon le plus ancien que je connaisse. Il est d’une beauté insolente, c’était comme-ci il avait été créé selon la beauté que je me fessais de l’homme. Ces traits étaient si fin que j’avais le désire d’y être incrustée, brun et ses yeux étaient des reflets bleus qui se transformé selon la lumière. A chaque fois que je le rencontrais, j’avais cette impression d’une hallucination. Constante. J’étais loin de me douter qu’en réalité c’était la dernière fois que je frôlais sa peau. Je m’écorchai sous ses paroles, je ne répondais à ses mots. Je me contentai de le suivre, il m’avait avoué que je devais le suivre dans une soirée, loin des humains. Dans une soirée, avec des gens comme nous, lié à l’enfer.

Ville inconnus, des regards déchus qui vous fixe en essayant de vous identifier. Je n’ai pas peur mais je reste quand même prêt de lui. Ces années le protège, moi j’en ai vécus que peu, je suis en terrain ou je suis vulnérable. Des vampires sont regroupé d’un côté, c’est fou ce qu’ils sont beau. On a ce charme envoutant qui n’existe pas vraiment naturellement les vampires et moi. J’avance dans les tréfonds de cette nuit. On est dans désert, prêt du Mexique. Il m’emmène et me présente à certain démon… Quelle fête tu parles. Au moins les humains savent danser toute la nuit. Ils sont tous en attente de quelques choses qui doit se passer. Je perds toute les notions de réalité et je m’endors face contre terre. J’entends des cries qui se propagent dans l’écho de pourriture qui ne font que s’amplifier. Je me relève avec la tête totalement défoncée, le souffre habite les lieux. j’ai trouvé le corps de Lazarius qui m’a dit de me mettre en sécurité et que des chasseurs de Démon avait fait une descente. J’essuyais son sang, le mien. Je ne sais plus. Il était en quelques sortes mon ami. Il m’avait pris sous sa protection car il avait participé à ma transformation. Ces souffles s’éteignaient à chaque second, je ne voulais pas qu’il parte. « Part Mary ». Je ne sais pas pourquoi, mais j’avais déposé mes lèvres sur son front. Son immortalité prenait fin, son pacte était brisé. Je me mis à marcher le plus loin possible dans ses poussières désertiques, comme un souffle sans bruit. Le silence me brulait, je voulais pleurer mais j’en étais incapable. Je suis revenu à Londres avec cette perte, encore une.