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 S. EDEN BAKER

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Sydney

SydneyMessages : 469
Date d'inscription : 02/10/2011

S. EDEN BAKER Empty
MessageSujet: S. EDEN BAKER   S. EDEN BAKER EmptySam 24 Mar - 23:08

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SIRIUS EDEN BAKER

IDENTITY:

date et lieu de naissance → 13.09.90. PARIS nationalité → Anglais. origines → Franco- Anglais . statut civil → Seul. orientation sexuelle → Pan-sexuel. situation financière → Moyen caractère → solitaire, ailleurs, incompréhensible, indépendant, motivé, franc, imaginatif, indifférent. avatar → Josh Beech.
A FASHION THING :

→ quel métier exercez-vous et en quoi consiste-t-il ? Mon métier ? Je suis Photographe en premier lieu. Je dessine aussi des motifs de vêtements mais ça n'a jamais encore vraiment abouti pour le moment, mais j'ai plein d'idées pour l'avenir. Parallèlement à mes travaux en studio, je continue mes études par correspondance pour devenir Directeur artistique. J'ai été assistant plateau dans l'un des cinq plus grand studio à Paris. J'ai eu la chance d'être signé l'an dernier avec JED ROOT
→ êtes-vous épanoui dans votre travail ? Je suis jeune, du sang frais donc je dirais que ça vient doucement.
→ que pensez-vous de l'industrie de la mode ? J'en pense beaucoup de chose. Je pense que l’industrie de la mode au niveau de la haute couture est un réel art. Le prendre en photo est défit constant. Trouver comment le maitre en valeur, le sublimer. Tout comme pour le model qui doit être en accord. Tout doit être parfait. Tout est très méticuleux.
→ quels sont vos rapports avec les mannequins ? L'avantage d'être très jeune c'est que le contacte passe plus facilement entre les mannequins et moi pour les sets. J'entretiens en général de bon rapport avec les mannequins. Parfois on continu même les shootings en dehors, pour leurs twitter ou mon tumblr.

S. EDEN BAKER Sansrevg

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SCARY MONSTER


Né au bord du gouffre de mes torpeurs à Stevenage à huit heures trente du soir lors d'un match de football que j'ai fait rater à mon père biologique. Dès que je suis arrivé au moins, il savait en quoi s'en tenir. Ça n'allait pas être facile entre nous. Mes premières respirations ont été les plus difficiles à prendre, mes poumons n'avaient pas réellement fini de se former ce qui a entrainé quelques petits problèmes. Je n'en suis pas mort pour autant. Je suis arrivé dans une famille déjà composée de deux petites filles, mes sœurs qui étaient déjà fortement liée entre elle. Et puis comme tous les enfants de ce monde j'ai grandi, je vous passe des étapes et des anecdotes futiles de mon enfance, tel le jeté de jus de raisin sur le mur et le changement de couche culotte. Le début n'est pas très passionnant je vous l'accorde. On va en venir aux choses essentiels de ma vie, je ne suis pas là pour faire ma biographie. A ma quatrième année, mon grand-père m'a surpris en flagrant délit de cassage d'appareil photo. Vous allez me dire « et il est devenu photographe ! Il est tordu ce gamin » en effet, mais si je l'ai cassé, c'était pour mieux comprendre. Les fantômes se sont épuisait en moi, mon imagination enfantine ne s'est jamais éteinte. J'étais un enfant assez expressif mais, pas sur mes sentiments. Ma mère l'avait très bien compris, mon père ne s'en est jamais soucié et mes soeurs n'ont jamais compris. Cette envie de créer est dans mes veines depuis naissance, c'est un élément moteur de mon organisme. Dans le début de mon adolescence, les mots se sont détruits dans ma trachée. J'ai eu cette impression d'avoir un cathéter enfoncé dans ma gorge. Une tempête c'est doucement élaboré dans ma tête, le monde, les comportements humains, une observation, un gain de culture et le silence. Ma chambre au mur rouge, mon crayon et des feuilles brulées. Des dessins sombres comme les somnolences obscures qui m'habitaient. J'étais coupé dans mon monde des problèmes de famille qui se déroulait sous mes yeux, d'argent également. C'est dans chacune de mes chutes que j'ai forgées mes forces pour me relever. La théorie du chaos habite les parties de mon cortex cérébral comme des vérités endormies.

Un jour ma mère m'a demandé ce que je voulais faire, j'ai répondu « restaurateur d'oeuvre d'art » rien n'avoir avec ce que les autres enfants veulent normalement. Elle m'a dit que ce n'était pas possible. C'est la première fois qu'elle m'a dit que quelque chose n'était pas possible. Je ne sais pas pourquoi, peut-être parce que ce n'était pas quelque chose de commun mais ça m'a fait mal de savoir que je ne pourrais pas faire ce métier. J'avais vraiment envie à douze ans de restaurer des peintures. A l'école, on ne peut pas dire que j'ai travaillé. J'ai fait acte de présence et j'ai beaucoup compté sur ma mémoire pour réussir mes examens. C'est à ce moment-là que j'ai commencé à m'enfermé dans mon silence et à faire de l'infographie. Et puis je me suis attaché aux êtres humains, ça m'a fait mal. La relation entre mes parents était juste de plus en plus chaotique. Je me suis battu pour avoir un appareil photo mais, je l'ai eu. C'était un compacte numérique, ma révolution c'est mise en route. L'apprentissage basique et par moi-même, c'est effectué. Autodidacte, j'ai effectué mes propres essaie. La photographie est la seule chose qui a su développer mes sentiments, qui a su les préservés en sécurité sans m'écorcher. L'anarchie de mes sens c'est créé dans l'air opaque de mes révoltes, l'observation mais, aussi la capture de l'instant décisif. Le témoignage de l'image comme thérapie, ma médication, mon insuline. Le flot de mon combat exacerbé par image m'a renforcé et m'a forcé a cultiver ma différence présente. Les démons de mon âme trahissent mon contrôle et se traduise dans mes images.


J'ai travaillé, économisé pour acheter un reflex numérique. Un canon EOS 350D. Lorsque j'ai pu me l'offrir mes yeux on miroité dans les possibilités de l'impossible réel. Mon imagination pourrait alors évoluer. Je n'ai jamais été un enfant dépendant des techniques, j'ai toujours dépassé la technique. Mon appareil est devenu l'extension de ma main tout naturellement. Les pensées corrosives du monde ne m'ont plus atteint dans ma bulle. Ma guerre intérieure est une puissance bien plus grande. Mes échappées matinale, au bord de l'inconnu ont forgé mon indépendance, ma solitude et ma réflexion.








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YOUNG BLOOD


Imagination n'a qu'une seule limite, celle qu'on lui impose. La notion de réalité se fane dans les possibilités de la création. Les univers s'ouvrent dans des mécanismes dissimulés dans nos os poussiéreux. Le noir fait partie de chacun de nous. Les sentiments égoïstes sont le déclenchement de nos réactions. Je n'ai qu'une seule colère froide qui persiste dans les fibres instables de mes muscles. Celle des injustices du comportement humain. La destruction n'est qu'une période nos cycles, acrobate de nos raisons qui s'échappent. L'éphémère nous habite, tu te retrouves l'otage de tes émotions. L'otage de ton corps. Mes limites sont le firmament des étoiles. Les voûtes s'étalent dans les mythes cassés de notre culture. Les rencontres nous nourrissent comme elles peuvent nous consumer. Les photographies sont l'immortalité volée de l'âme. Cet instant qui a été capturé ne sera plus jamais reproduit mais durera éternellement sur la matière ou les grains s'y déposent. L'éternité.


Le vent du nucléaire a soufflé ma naïveté enfantine pour se vendre à mes guerres. Si j'avais pu, je serais parti en Inde, en Irak, en Pologne, au Chili, à Cuba, en Colombie. Loin de cette normalité pesante. La violence. Ce flegme devant les meurtres, cette indifférence devant le viol. Tout ça, passé à la télé, diffusé en toute normalité. La manipulation de vos cadavres naïfs m'a rendu malade. À ce moment-là de ma vie tout a basculé. Mes parents ont enfin compris qu'ils devaient divorcer et j'ai demandé l'extradition dans la photographie. Une école de photographie française. Mes chaînes se sont brisées lorsqu'ils ont enfin compris que je n'étais pas fait pour être ce qu'ils attendaient de moi, que j'étais déjà bien trop loin pour qu'ils puissent me garder contre eux.

En rentrant sur le territoire français, je savais que j'allais devoir prendre sur moi à cause de l'internat. On ne peut pas dire que je suis une personne à foutre dans la foule. Il y a une part de moi asocial qui déteste les comportements de masse. Pour être photographe, il faut avoir une ouverture d'esprit élevé et donc je ne devais pas m'écrouler sous les traits de mon caractère. J'ai appris à faire de mon indifférence une force. Celle d'ignorer leurs débilités, me foutre de leurs pensées stériles. J'ai perdu des personnes de mon entourage, je me suis éclaté la face contre les lattes de mon lit et puis d'autres m'ont sauvés. Par la force de mes attaches, je suis cassé en deux. J'ai dérapé dans les crampes de mes brumes, me foutant de la dynamite dans la gorge mais, je suis encore là. Mes études furent quelque chose de compliquer, car une fois les bases données. Je m'ennuyais et je trouvais cela inutil de rester là. Il y avait du matériel très important des Hasselblads, des Mamya. D'ailleurs, une fois j'ai fait tomber un Hasselblad p +20. J'ai cru que j'allais m'ouvrir les veines sur place tellement cet appareil est important. Il vaut une maison, l'argent que j'étais loin d'avoir. Heureusement il n'y avait rien de grave. Les techniques ont été dépassées dans mes habitudes, le feeling est très important. Je ne me vois pas faire que des photos techniquement bonnes. Ça me fait hurler à l'intérieur, car la vie qui est censée émaner de la photo est paralysé dedans. Il y eu un vide dans mes entrailles. Les apparences sont trompeuses, j'ai le visage d'un petit garçon sage mais, je ne pense pas l'être. Je suis moi tout simplement. Les notions de bien ou de mal me sont inconnues. Je déteste les mots « mignon », « chou » quand je les entends, j'ai envie de me gratter le bras ou de vomir.

Durant ma scolarité en France, j'ai effectué des stages dans différent lieu dont l'un recevant des sets de mode. J'étais déjà attiré par l'esthétique des photographies de mode mais, je ne m'étais jamais dit que je pourrais en faire « ma spécialité ». J'ai été efficace dans mes stages en temps petit stagiaire, j'ai beaucoup appris au niveau de la lumière. J'ai utilisé mes connaissances pour me constituer un book à la hauteur. J'ai travaillé durant quelques mois dans des centres aéré pour me payer un CANON 5 D MARK II (qui est mon petit bébé, le seul l'unique) puis j'ai travaillé pour le WAD qui est un magazine qui ne fonctionnement que par le volontariat. J'ai continué pour STELLA,SLINK seulement pour me faire un nom. Bien sûr ce n'était pas facile parce que je n'étais pas payé et pour vivre c'était compliqué surtout que je ne voulais pas abandonner mes études parce que oui ça ne servait pas vraiment mais, je ne voulais pas m'arrêter à la photographie. C'est un milieu complexe et on n'est pas à l'abri. Je fessais le travail pour mes contacts le soir et le jour j'allais en cour, parfois je n'y allais pas. Ce qui m'a valu plus d'une fois des menaces. Ils voulaient me virer. J'ai tenu jusqu'à la fin de mes études.

Dans cette période de ma vie, je me suis mis à fumer pourtant j’ai toujours été contre mais j’étais aussi très nerveux a l’idée d’échouer. De me casser les dents contre le trottoir de mes rêves. Ma tête fonctionnée a mille à l’heure et je ne devais pas dormir. Le café a été mon meilleur ami. Pour mon entourage tout ça, tout ce que je voulais, aimer faire leurs a été égale. Je n’ai pu que compter que sur moi-même, ce qui me valait souvent de me taper la tête, prendre des douches habillé, dormir dans mon bain.


I was alone, staring over the ledge, trying my best not to forget, all manner of joy, all manner of glee, and our one heroic pledge. How it mattered to us, How would it mattered to me, and the consequences, I was confused by the birds and the bees . Forgetting if I meant it. Baby, did you forget to take your Meds ?

Je me suis accroché à mes rêves comme on peut s’accrocher à la vie. J’en devenais parfois psychopathe totalement en crise constante d’avoir peur de ne pas réussir. En y repensant, j’aurai juste voulu me fuir. Pendant cette période, j’ai rencontré des personnes, pris des choses, vu du sang couler, monter des projets, les voir s’écrouler. Continuer, s’arrêter, en tomber malade, s’en remettre et avancer. Mon book constitué, les magazines en contacts. J'ai été à l'agence JED ROOT celle de Paris, j'ai présenté mes travaux. J'ai été accepté comme le plus jeune photographe de leur agence à 19 ans et demi. Mon culot y est pour beaucoup.







S. EDEN BAKER Specialk

OFF TO THE RACES
Premier Plateau - L'agence m'a laissé faire un essai, si je comblais le client, d'autres commandes tomberont. Si je ratais ? J'étais viré. Ma première commande fut pour Dazed and Confused, je connaissais un peu l'esprit du magazine. J'entrais dans le studio ou j'avais fait mes stages, je saluais le régisseur en plaisantant un peu sur sa barbe et puis j'allais le sur le plateau 2. Il y avait les croissants que j'avais eu l'habitude d'aller chercher pour les clients disposer sur la tablette. Ca me fessait vraiment bizarre d'être à la place dont j'avais toujours rêvé. Il n'y avait que moi, l'assistant plateau du studio et une stagiaire qui avait déjà sorti le matos commandé mes poumons s'écrasaient. Ce n'était pas un putain de rêve, j'avais réfléchi à l'éclairage toute la nuit. J'avais eu comme consigne : Photo dans les valeurs de gris pour 9 pages. Je sélectionnais ma playlist en mettant Metric et c'était bon. Mon énergie et mon dynamisme se mirent en route «Il me faut un fond gris, une strip à terre, une opalite sur perche et des polis » alors que j'étais grimpé sur les wind-up pour aider l'assistant et le stagiaire avec le fond, les modèles, la styliste et les coiffeurs arrivaient. J'aimais bien cette sensation de hauteur, je pense bien qu'à cet instant ils se sont demandés qui était le photographe. Je ne travaillais pas au moyen format donc pas d'assistant numérique. Ce qui augmenta la pression dans mon ventre.

Les personnes qui travaillaient dans la mode avaient une fausse réputation celle d’être « des personnes froides », c’était totalement faux. Ce n’était que des personnes comme tout le monde, il y avait quelques règles à respecter - tutoyer tout le monde, sauf les DA - Bien écouter les attentes de chacun. Je saluais tout le monde en leurs serrant la main, ou en leurs fessant la bise en disant « Sirius Baker, Photographe ». Tous ensemble ont formé une équipe du moins pour la journée. Je me mis à l’aise à parler avec les modèles pendant que le styliste et on assistant s’installé. J’étais content car il y avait un anglais, une française de mon âge. Je préparais mon appareil, on fessait les réglages avec l'assistant et c'était bon. Je devais mettre mon côté réservé à la porte pour être bien avec tout le monde, surtout avec les modèles. On a commencé à shooté en temps et en heure, je donnais mes directions en vérifiant tout. Les vêtements étaient quelque chose de très dur à gérer, car ils ont tendance à mal se placer. Dans les photos de mode tout doit être en harmonie ou alors avec une harmonie totalement inversé, la styliste était assez pointilleuse ce qui me facilita la tâche. La journée c'est bien passé, malgré quelques coup de stress qui me valait plusieurs clopes. La rédactrice de Dazed était passé dans la journée et sa lui plaisait énormément. J’étais soulagé.

Le soir même, les modèles me proposèrent d’aller en boite avec eux, j’avais accepté le travail était quasiment bouclé. Durant la soirée, j’ai pris des photos parce que bon, c’est plus fort que moi. Nous sommes bien amusés et puis les modèles m’avaient mentionné et j’avais posté quelques photos via mon ordinateur en rentrant. C’est comme ça que mes contacts avec les modèles c’était renforcé. Que plusieurs modèles étaient venus me voir en disant qu’ils hâtent de travailler avec moi.





S. EDEN BAKER Sansre2vyd
prénom/pseudo → WILD SPIRIT. âge → 19 YO pays → FRANCE présence → un peu tous les jours sauf en cas de problème comment t'as atterri sur le forum ? j'ai cliqué . qu'en penses-tu ?
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